Prêts immobiliers : les taux d'intérêt baissent encore en novembre

[ 20/11/09 - 15H08 ]

Les taux d'intérêt des prêts immobiliers ont encore baissé très légèrement en novembre, selon empruntis.com. Les taux moyens retombent à 3,90% sur 15 ans et à 4% sur 20 ans. La tendance est à la stabilisation. Retrouvez tous les taux en région.            

Les taux d'intérêt (fixes) des prêts immobiliers continuent de baisser. Moins fortement cependant qu'en septembre ou en octobre. "Nous enregistrons de très légères baisses, comprises entre -0,05% et -0,10% selon les régions et les durées", selon empruntis.com.

Les taux moyens sont ramenés à 3,90% sur 15 ans et à 4,00% sur 20 ans au 16 novembre, soit une baisse de -0,05% par rapport au mois précédent. Au total depuis le plus fort de la crise des liquidités qui a touché les banques, en octobre 2008 (taux fixe à 20 ans de 5,40% en moyenne), le taux à 20 ans a cédé ... 140 points de base. Un particuliers qui emprunte 200.000 euros sur 20 ans par exemple, gagne 36.730 euros sur l'ensemble de l'opération s'il la réalise maintenant (avec un taux hors assurance à 4,00%) par rapport à octobre 2008 (taux hors assurance à 5,40%).

Les taux fixes des prêts immobiliers sont généralement fixés à partir des taux des emprunts d'Etat à long terme (OAT à 10 ou 15 ans). L'OAT à 10 ans par exemple a beaucoup oscillé cet été. Depuis le mois de juin, elle est à nouveau à la baisse (3,6% vendredi 13 novembre, contre 4% à son plus haut de l'année, début juin), ce qui est bon signe pour les prêts immobiliers. Par ailleurs, les banques se livrent actuellement à une concurrence féroce, toutes voulant profiter de la période actuelle, traditionnellement identifiée comme le second temps fort de production de crédits immobiliers de l'année, après les mois de printemps.

Les taux d'intérêt moyen région par région au 16 novembre 2009 (versus le 14 octobre)

Lire : le taux moyen des prêts à 20 ans est de 4,00% au 16 novembre 2009, en Ile-de-France, contre 4,05% au 14 octobre. Source : empruntis.com.

Une régulation renforcée peut aller de pair avec une certaine subtilité. Tel est le message un rien sévère que Jean-Claude Trichet vient d'envoyer à la Commission européenne à propos de son projet controversé de régulation des hedge funds et autres fonds dits de gestion "alternative".

Le président de la Banque centrale européenne (BCE), dans ses observations sur le projet de directive élaboré par Bruxelles, soulève une objection de principe contre le texte, et propose plusieurs amendements significatifs. Mais la BCE a déjà peut-être un autre but : celui de s'affirmer comme l'arbitre ultime de la réglementation financière en Europe.

L'objection de principe de la BCE - qui, au-delà de ses précautions de langage, ressemble à une mise en cause de l'existence de la directive - tient dans l'absence de coordination internationale sur le sujet, notamment avec les Etats- Unis. Or la régulation dans une seule zone, observe la BCE, ouvre la voie aux "risques d'arbitrage réglementaire et d'évasion", si les sujets des nouvelles lois choisissent d'établir leur domicile fiscal sous des cieux moins réglementés...

Sans attendre cette approche internationale qu'elle appelle de ses voeux, la BCE propose des amendements au projet européen sur deux des sujets qui sont parmi les plus contestés : les obligations d'information imposées aux gestionnaires de fonds, et leur niveau d'endettement. Sur le premier point, elle propose d'alléger la procédure, soulignant que les fonds sont déjà astreints à certaines obligations et avertissant contre le risque de les étouffer sous les contraintes bureaucratiques. Sur le second point, la BCE n'a pas d'objection de principe contre l'idée d'un encadrement de l'endettement des fonds, mais elle suggère une approche différenciée selon leur nature, qui contraste avec la toise uniforme proposée par Bruxelles.

Compromis

Ces suggestions de la BCE vont dans le bon sens et devraient permettre de parvenir plus vite à un compromis sur un projet qui embarrasse même les partisans d'une réglementation des hedge funds, tant il apparaît hâtif et mal fagoté. Mais la BCE semble avoir un but plus large, suggérant notamment que nombre des détails de la future réglementation soient laissés au travail de comités d'experts, au sein desquels elle aurait une influence décisive.

Officiellement, la BCE n'a qu'un rôle consultatif dans l'élaboration de la directive, qui doit être soumise au Conseil, puis au Parlement européen. Mais il est clair que M. Trichet pense que l'institution qu'il préside devrait jouer un rôle majeur dans l'élaboration de l'architecture financière européenne. Il doit bientôt présider le nouveau Conseil européen des risques systémiques, chargé de la macrorégulation financière. Il semble déjà interpréter largement son futur mandat.

Pierre Briançon

CURRICULUM VITAE

Diplômes et formationS

·         Master Grande Ecole de Commerce Inseec « Corporate Finance »

·         Summer session « business english » à l’Université d’Irvine, Californie

·         Licence « administration et gestion des entreprises » à l’Université Bordeaux IV

·         Diplôme d’étude universitaire générale. « Administration économique et sociale »

·         Baccalauréat ES – Lycée d’Arcachon

Expérience professionnelle

·           septembre 2008 à juin 2009 – stage à la Banque Palatine Bordeaux (analyste crédit entreprise)

·           septembre, octobre, novembre 2007 – poste de croupier au casino de Gujan -Mestras

·           février, mars, avril 2007 - stage à Cetelem (recouvrement de créances)

·           été 2007   - surveillant d’attractions à Aventure Parc (Biscarosse)

·           août 2006 - employé de banque au Crédit Mutuel de Biganos

·           août 2005 - employé de banque au Crédit Mutuel de Gujan-Mestras

·           été 2004  - mise en rayon et inventaire en supermarché, intérim dans une scierie et brancardier un mois à l’hôpital d’Arcachon

·           saison 2003 - surveillant de baignade à Aqualand (Gujan-Mestras)

·           été 2002 - entretien de jardin

Loisirs

·         sports (tennis, badminton, jogging, natation, surf), voyages, sorties culturelles.

·         titulaire du Brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique

PARIS (Reuters) - Le Crédit agricole et la Société générale démentent toute négociation en vue d'un rapprochement entre les deux banques françaises et l'assureur français Groupama, en réaction à des informations du Monde.
"Le groupe Crédit agricole SA n'a pas engagé de négociations avec les groupes Société générale et Groupama et n'envisage pas de le faire", a déclaré une porte-parole du Crédit agricole.
"Société générale n'a pas été approché pour ce projet", a de son côté réagi la Socgen dans une déclaration écrite envoyée à la presse, soulignant qu'un tel projet de rapprochement ne s'inscrivait pas dans la stratégie de la banque.
Dans son édition datée de mardi, Le Monde écrivait que le Crédit agricole réfléchissait "dans le plus grand secret" à un projet de rapprochement impliquant la Socgen et Groupama.
D'après le scénario envisagé, la banque verte et Groupama, qui détient déjà 4% du capital de la Société générale, envisageaient de monter de concert dans le capital de la Socgen avec pour objectif de détenir ensemble une participation de l'ordre de 30%.
Le Monde prenait toutefois soin de préciser que ni Frédéric Oudéa, le P-DG de la Socgen, ni Jean Azéma, le directeur général de Groupama, ne semblaient "séduits" par l'opération.
Le quotidien soulignait aussi que ce projet n'avait pas donné lieu à de réelles négociations entre les trois groupes et que les caisses régionales du Crédit agricole étaient aussi opposées au projet.
A la différence des deux banques, Groupama n'a pas commenté dans l'immédiat les informations du Monde.
Ces informations ont relancé les spéculations autour d'un rapprochement entre le Crédit agricole et la Société générale, entraînant momentanément les actions des deux banques à la hausse.
Vers 12h30, l'action Société générale progressait encore 0,49% à 48,48 euros après avoir gagné jusqu'à +1,55% plus tôt dans la matinée. Dans le sillage des valeurs bancaires européennes, le titre Crédit agricole est quant à lui reparti à la baisse (-1,57% à 14,44 euros) après avoir gagné 0,24%.
Aux cours de lundi, le Crédit agricole et la Socgen affichent des capitalisations boursières de respectivement 33,49 milliards d'euros et de 29,33 milliards. Celle de BNP Paribas qui a racheté cette année une partie des activités de Fortis ressort à 65,79 milliards d'euros.
En janvier dernier, près d'un an après la création de Newedge, leur filiale commune dans le courtage, le Crédit agricole et la Société générale ont annoncé la fusion de leurs activités de gestion d'actifs au sein d'une coentreprise baptisée Amundi.
A cette époque, Georges Pauget, le directeur général de Crédit agricole SA, avait écarté l'idée d'un rapprochement de grande envergure avec la Société générale.
Matthieu Protard, avec Sudip Kar-Gupta et Blaise Robinson, édité par Jean-Michel Bélot

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Objective à to obtain a position, beginning in January, which will conclude my financial degree MASTER (INSEEC International Business School in Bordeaux, France)

PROFESSIONAL EXPERIENCE IN FINANCE

·                       Sept 2008 - Jun 2009       - Trainee at the section enterprise of Banque Palatine, a merchant bank specialized in the market of enterprises and patrimonial management Held by the Caisse d’Epargne / Banque Populaire group

Experience of 10 months at the branch of Bordeaux

Mission: research of new enterprises or selling new products, creating a new data base of clients on excel software and constituting credit files for enterprise. The constitution of credit files was the main part of my job: analysis of the economic and financial environment, competitors, and risks according to the type of credits and bank relationships

·                       Jan - Apr 2007                  - Trainee at Cetelem, held by BNP Paribas Personal Finance Cetelem, enterprise specialized in european credit in Europe regarding accomplishments in real estate and consolidation

Experience of 4 months as a commercial assistant for debt recovery

·                      Summer 2005-2006        - Bank clerk at the Credit Mutuel

A French mutual Bank, 2^nd retail bank in France, and 2^nd in insurance (habitation, health and car)

Mission: welcome the costumers in a local agency and classic operations such as: managing payments, cash (deposit and withdrawal of money invested), DAB, transfers, investments

ACADEMIC QUALIFICATIONS

·         Master degree from INSEEC : a french business school in Bordeaux

Specialization in Corporate finance : market finance, accounting, banking activities, valuation of enterprises value, risk management, patrimonial management, financial communication, benchmark financial analysis French GAAP/IFRS, financial engineering, investment, IFRS standars

·          Summer session in University of California Irvine : Business English program

Conceptual finance and oral business classes

·         Bachelor “Administration and Management of Enterprises” at the University Montesquieu of Bordeaux IV

·         General University Degree in social and economic administration

·          Economy based “Baccalauréat” – Secondary School of Arcachon

Languages, informatic skills and PASTIME

·         English : fluent / Spanish : medium level

·         Software : Word / Excel / PowerPoint / Access / Outlook

·         Hobbies (sports : tennis, badminton, jogging, swimming, surfing), explore new cultures     

·         Holder of the Aquatic National Certificate of Security and Rescue

Etudiant en Master 2 Corporate Finance à la recherche d'un stage pour janvier 2010.
Expérience significative dans le monde bancaire et plus particulièrement en finance d'entreprise.